Il ne suffit pas de lever le nez
Se promener à Dorcol et tomber en arrêt devant une plaque d'égoût ...
Le konak du prince Miloš
Le konak du prince Miloš, comme celui de la princesse Ljubica,
permet de se faire une idée de ce qu'était une résidence princière au XIXe siècle en Serbie.
Construite dans les années 1830, elle se trouve à Topčider, aujourd'hui un quartier de Belgrade,
mais qui était alors la campagne.
La résidence présente de fortes influences architecturales ottomanes.
Le mot konak, ets lui-même d'origine turque.
Ici l'oriel, est plus qu'une avancée en encorbellement,
comme on peut le voir dans le konak de la princesse Ljubica, puisqu'il prend toute la hauteur du bâtiment.
L'intérieur présente de beaux plafonds peints et des aménangements typiquement ottomans.
Des expositions y sont régulièrement proposées, mais généralement pas traduites...
Cependant comme il reste très peu de ces résidences princières à 200 dinars l'entrée,
ca vaut la peine de d'y jeter un oeil.
Les Gorges de l'Ibar
Après de longs mois à travailler à un autre projet,
nous avons repris nos ballades et là direction le sud-ouest de la Serbie,
près de Kraljevo, dans les gorges de l'Ibar.
Visite du monastère de Studenica
Musée ethnographique de Padurea Verde, Timosoara, Roumanie
Avec bien du retard, pour cause de changement d'ordi, perte des photos
et autres joyeustées informatiques, voici les images du Musée ethno de Padurea Verde.
Padurea Verde, c'est un parc dans lequel différentes maisons tyiques des diverses communautées
du Banat de la fin du XIXe-déut XXe ont été reconstituées,
ou, comme c'est le cas pour l'église, totalent démontées/remontées.
Maison de Bata, généralement datée 2ème moitié du XIXe
Maison de potier de Birchis, datée fin XIXe
The Bautar House, région de Bistra, fn XIXe
appelée ainsi dès 1750, son nom vient d'un terme régional signifiant caillou/rocher.
La maison hongroise de Babsa, début XXe
L'église, démontée puis remontée, est toujours en fonction et comme il y avait un office
et bien, nous ne sommes pas rentrés voir l'intérieur.
Voilà pour notre week-end à Timisoara.
Le beau temps revenant,
j'espère reprendre bien vite nos vadrouilles à la découverte des Balkans!